dimanche 22 mars 2015

La Tournette (Aravis) : 14 Mars 2015


Conditions : Ciel voilé mais relief dégagé. Nivo 1, traces d’anciennes coulées dans les parties raides.

Déroulement : nous avons commencé à suivre la météo dès lundi dernier afin de se décider sur la course à faire. Finalement après de multiples changements nous avons décidé que c’était bon pour samedi. Itinéraire de montée initial par le sud abandonné par manque de neige et finalement nous avons choisi de prendre l’itinéraire classique par le versant NE. Bonne pioche car nous avons chaussé à la voiture mais comme la trentaine d’autres groupes présents au parking dès 07h45…

Après une première petite erreur de parcours nous nous mettons dans la trace de montée qui ma fois parait plus comme une piste de ski bien damé qu’une trace de ski de rando. Nous croisons pas mal d’autres groupes bien que ce soit pas véritablement gênant car à partir de la sortie de la forêt l’étendu du versant est de la Tournette donne de la place à tout le monde pour y inscrire son itinéraire. La montée est efficace et après être passé en dessous des différentes variantes de descente sur un petit faux plat, nous avalons le dernier mur couteaux au pieds avant de repasser par-dessus une barre rocheuse pour atteindre le petit goulet sommital. Le goulet est facilement accessible bien qu’une équipe ai choisi d’y installer une main courante. 

Le sommet est finalement atteint vers 11h30 à l’aide d’une petite passerelle permettant d’éviter un pas d’escalade expo. Nous ne passons pas beaucoup de temps au sommet car nous ne sommes pas seuls et il n’y a pas beaucoup de place finalement ! Belle vue voilée tout de même du lac d’Annecy et montagnes avoisinantes.
Après avoir cassé la croute sur un beau balcon nous entamons la descente plein est par un large couloir en excellente condition. De là nous dévalons « la piste » sans pour autant croiser beaucoup de monde jusqu’à la forêt avant de faire tirer à gauche en dessous du refuge de la Rosairy pour finir à la voiture vers 13h30. Dans l’ensemble une très belle descente en neige changeante mais ma fois bien skiant tout de même.

Sortie couronnée d’une mousse pour les uns et d’un Perrier pour les autres ainsi qu’un arrêt à la fromagerie de Thônes pour un petit bout de Reblochon avant de rentrer.

Bilan : Parcours ultra classique et à forte fréquentation mais on voit pourquoi  quand on l’a fait. Belle ambiance malgré le peuple qui finalement ne gêne pas dans ce cadre majestueux. Coût de la sortie 20€ / personne. A refaire peut-être un jour de la semaine comme à très bien dit Nico.
Bonne équipe autonome. Bonne ambiance.


 

mardi 10 mars 2015

Grand Veymont (Vercors) : 8 Mars 2015


Avec quelques inscrits de dernières minutes, nous sommes finalement 10 pour profiter de cette belle journée ensoleillée.

Après un départ à 6h30 de Vénissieux, nous sommes d’attaque à 8h30 pour partir au lieu-dit la Ville de Gresse-en-Vercors.


Départ avec une belle vue du sommet :

 La randonnée commence en suivant le chemin d’été à travers la forêt puis débouche sur une belle combe en direction du Pas de la Ville ; la neige est dure avec un bon regel nocturne.
Les dernières conversions sont serrées dans une pente S3.

Nous mettons alors les crampons pour monter dans un couloir à gauche (ouest) du passage principal, qui nous fait passer dans un joli passage entre les rochers. La neige est très dure avec le fort vent du nord qui a soufflé ces derniers jours.


Montée au-dessus du pas de la Ville :



Arrivé sur le plan incliné, nous remontons les skis pour rejoindre le sommet. Les couteaux ne sont pas de trop sur cette neige glacée.

Crète dégarnie et neige glacée en direction du sommet



Arrivée au sommet à midi, nous profitons de la magnifique vue panoramique : Mont Aiguille, Haut Plateau du Vercors, Obiou.
Nous prenons le temps pour un encas en discutant des possibilités de descente :
Chemin de l’aller ou descente versant ouest pour trouver un couloir sud qui permet de rejoindre le haut plateau du Vercors puis une remontée de 300 m pour rejoindre le pas de la Ville.
Après une longue concertation, compte tenu de la taille du groupe et du niveau de chacun, nous décidons de ne pas descendre le versant ouest qui est trop exposé avec cette neige glacée.

L’équipe au sommet




Nous reprenons le chemin de l’aller jusqu’au couloir principal de l’arête nord qui est en neige dure et demande beaucoup d’attention pour la descente.
Tout le monde rejoint le Pas de la Ville en ski.

Descente du couloir nord pour rejoindre le pas de la Ville



Nous commençons la descente dans ce vallon orienté est avec une neige complètement transformée : 1ère neige « soupe » de l’année.

Une pause casse-croute sur un promontoire à mi pente pour profiter du soleil et de la vue, puis retour à Gresse où nous trouvons plus ou moins facilement un bar qui nous servir les traditionnelles bières.

Retour à Lyon vers 17h.

Jolie course, avec un passage technique exposé, à revenir pour faire cette belle boucle versant ouest avec des meilleurs conditions de neige.

Merci à Philippe pour la tracé GPS :







Tour des Pointes de Lorès (Vanoise) : 6 au 8 Mars 2015


Le Vent a soufflé très très fort sur la haute tarentaise le Jeudi 5 mars, Le BRA du jeudi soir ne donne pas très envie de sortir les spatules (niveau 4 au-dessus de 2800m)
De nombreuses accumulations et plaques se sont formées, une grosse avalanche a même été observée au Dôme de la Sache…
On réfléchit pas mal, et on réarrange donc un peu à la dernière minute notre programme : nous partirons pour une journée de ballade tranquille dans le Beaufortin et on tentera le tour des Pointes Lores en deux jours au lieu de trois en laissant passer une journée de stabilisation.
Ce nouveau programme devrait également nous permettre d’esquiver le groupe des 14 cafistes parisiens qui avait prévu les mêmes refuges que nous aux mêmes dates…, et donc d’esquiver le refuge non gardé de la Femma qui se  trouvait déjà complet rien qu’avec les 3 groupes qui se sont donner la peine d’appeler la gardienne…

Nous partons donc pour le Quermoz, grand classique que personne n’avait déjà faite, et que nous attaquons depuis Grand Naves.
Le risque nivologique est également important dans le Beaufortin (risque 3 au-dessus de 1800m, nombreuses plaques et accumulations),  mais le choix de la course nous semble approprié aux conditions du moment. C’est de plus sur la route de Val d’Isère donc idéal.
Grand beau pour cette sortie, pas ou quasi pas de vent.
Pas ou quasi pas de monde non plus, bref, on se régale du panorama, de la neige transfo, de quelques portions encore poudreuses etc…
Un peu de rab demandé par les participants fait monter la dénivelée de cette belle journée à D+=1250.
Nous passons la soirée et la nuit chez Fred, situé à Grand Naves qui a un dortoir tout confort pour 6 pers.
Très bon plan trouvé par l’organisateur le matin même quand on s’y est arrêté pour boire un café au départ de la ballade.
On paiera un petit droit de bouchon pour sortir nos excellents crus des sacs, et les tournées de génépi pour l’anniversaire de Serge seront appréciées.

Samedi matin, on rejoint Val d’Isère, le risque a baissé à 3, de nombreuses plaques sont toujours présentes, il faudra rester prudent.
Nous partons donc du parking du Manchet  pour le refuge du fond des fours, où nous y arrivons pour le piquenique.
Le soleil du matin s’est un peu voilé et nous avons des doutes pour l’après midi, mais le gardien nous rassure.
Nous décidons de terminer la journée par une belle boucle col de Bézin, col des fours et retour refuge.
Nous profitons de bons passages en poudreuse encore bien agréable à skier.
La dénivelée de la journée est un peu plus importante que celle de la journée précédente avec D+=1275m et permet d’éliminer les fondues et autres victuailles de la veille.
Le refuge est sympathique, de taille humaine (40 pers max) et nous serons 15 au total pour ce Samedi soir (y compris le gardien et la gardienne).
Le fait de décaler d’un jour notre périple nous a bien permis d’éviter le groupe des 14 cafistes parisiens. Impec.
Le diner du soir est pyrénéen (Garbure, fromage des Pyrénées, etc…) car le patron du refuge est d’origine basque.

Dimanche matin, départ 7h00 skis aux pieds. Nous avons décidé d’aller à la pointe de la Sana en passant par le col de Rocheure.
Longue et belle traversée, seuls au monde du refuge jusqu’au col des Barmes de l’Ours, mais nous voyons toujours beaucoup de traces du passage du  vent sur notre route.
Nous posons quelques affaires au col, pour nous alléger, et nous attaquons les 400m de D+ qui restent pour le sommet.
Vue splendide à 360° au sommet, Albaron, Charbonnel, Grande Casse, Mont Pourri, Sache, Mont Blanc, Grande Casse, Cervin, Grand Paradis, Viso, Hohneck, … et j’en oublie
Pour ceux qui ont fait la grande Casse, c’est à peu près la même vue mais en mieux, vu qu’on voit la Grande Casse en plus.
Puis longue et belle descente sur Val d’Isère par les gorges du Pisset.
La neige est agréable sur une bonne partie de la descente, puis dernière pause au soleil.
La dénivelée aura été un peu augmentée par rapport aux jours précédents : elle tourne à D+=1300m environ.
Bières à Saint Foy, où Anne nous négocie un super caveau privé -spécial Corvi- (avec dégustation possible de vin + Jambon cru, mais Michel, trop pressé de rentrer ne nous laisse pas le temps de les gouter)
Retour sur Lyon à 20h45 malgré la conduite sportive de Serge (et oui quelques bouchons malheureusement)

Bilan :
3 très belles journées en Montagne,
Belle équipe bien sympathique,
Merci spécial à Adrien pour le co-encadrement et à Serge pour le transport
Et merci à l’équipe de Marc-Henri pour nous avoir laissé les piolets lights du club

A bientôt sur les skis





Dôme de Pravouta; Bec Charvet; Roc d'Arguille (Chartreuse) : 28 Février 2015


Bonjour à tous les amateurs de montagne,

Voici le compte rendu de notre sortie à ski en Chartreuse du samedi 28 février 2015 que nous avons dû modifier compte tenu du BRA de vendredi dernier. En effet les récentes chutes de neige et le fort vent en altitude ont rendu les pentes raides instables en raison de la formation de plaques parfois très épaisses. Pas question de monter aux Lances de Mallissard cette fois-ci, nous partons donc pour une balade avec des pentes moins raides et en forêt pour travailler les virages serrés.

Suite à notre rendez-vous traditionnel au CE à 6h30 nous faisons route pour Perquelin en Chartreuse après un bref arrêt à la sortie 6 de l'AREA pour récupérer Jérôme F.et Serge M. Le parcours est fluide et calme, nous évitons même de mettre les chaines après Saint Pierre de Chartreuse en nous garant à 960 m d'altitude avant Perquelin.

Skis aux pieds vers 8h45 nous prenons le chemin du Col des Ayes (1538 m) dans la brume en espérant que les prévisions météo soient correctes et que le soleil va arriver vite. L'ambiance est hivernale car il a neigé dans la nuit, les arbres sont blancs et se déchargent d'un peu de neige lorsque qu'on pousse leurs branches qui gênent notre progression. Les 700 m de dénivelée qui permettent d'atteindre le col sont avalés sans encombre mais le soleil n'est pas encore là. Nous décidons quand même de continuer jusqu'au "point de vue" à 1760 m qui n'est autre que le dôme de Pravouta. On attaque la montée un peu raide au plus court par l'Est sur une neige plaquée par le vent et par des portions dégarnies où les skis frottent la végétation pour ne pas aller déranger les zones d'accumulation. L'équipe monte bien en s'espaçant un peu par prudence jusqu'au sommet que nous avons pu apercevoir grâce à une courte éclaircie. Une fois arrivés vers 11h30 nous sommes à nouveau dans les nuages et nous ne pouvons rien admirer à l'horizon à part les skieurs qui arrivent de tous les côtés. C'est le point de ralliement des Grenoblois qui viennent majoritairement de la route du Col du Coq.  Compte tenu que nous sommes venus profiter de la nature, pas du monde, nous décidons de nous enfuir par la pente Sud Est en direction de l'Habert des Ayes. Le long de la forêt la neige est profonde et légère sur une sous couche dure transformée; c'est un régal en autres pour ceux qui décident de la gouter en y mettant la tête...

Trop rapidement nous descendons au dernier virage de la route qui monte au Col du Coq et nous remettons les peaux pour prendre la direction du Bec Charvet. Nous empruntons la route enneigée jusqu'au col puis juste après nous obliquons à gauche pour attaquer notre objectif par le Nord. Le Bec Charvet est une espèce de pain de sucre à 1739 m dont les faces Nord et Sud sont super raides, personne n'envisage de les descendre à ski. L'ascension se fait en forêt sur son arête Nord où la belle trace pentue déjà faite nous conduit à enchainer les conversions entre les arbres serrés toujours à la limite de l'adhérence. L'équipe souffle un peu à l'heure de l'apéro; ce sommet se mérite. Une éclaircie de quelques minutes nous laisse imaginer que nous mangerons au soleil mais ça ne sera pas le cas. Certes, arrivés en haut vers 13h30 nous prendrons le temps de manger histoire de reprendre des forces mais sans pouvoir profiter de la vue. Nous sommes à l'extrémité Sud de notre tour et nous discutons des alternatives de descente lorsque que nous nous rappelons que d'après le programme nous devons être de retour à Lyon pour 18h... Il faut repartir sans perdre de temps et c'est plein Ouest qu'on se laisse glisser pour une descente ludique et mémorable qui coupe une belle clairière et la forêt assez dense. Tout le monde s'amuse en godillant dans la poudre légère; à tour de rôle chacun se roule dans la neige... on a bien fait de venir.

Vers 1400 m nous rejoignons le large chemin qui nous conduit calmement au Nord sur la route du Col du Coq où nous repeautons pour la dernière fois de la journée afin de nous diriger en direction du Habert de Pravouta par la trouée dans la forêt évidente sur la carte. La montée se fait sentir et il faut une nouvelle fois pousser sur les bâtons pour garder une allure compatible avec notre volonté de gravir le Roc d'Arguille et atteindre son sommet qui "culmine" à 1768 m à 15h00. Nous sommes toujours dans la brume et ne perdons pas de temps à prendre des photos; une fois le Habert en vue nous continuons à monter au Nord Est en laissant sur notre gauche les barres rocheuses qui le dominent. Ensuite nous rejoignons rapidement le petit col qu'on nommera "de Pravouta" depuis lequel on atteint le sommet du Roc d'Arguille en remontant son épaule. Nous sommes dans les temps lorsque nous passons les chaussures et fixations en position descente, il ne reste plus qu'à se laisser glisser au Nord pour retrouver les voitures. En fait comme l'indique la carte la forêt est très raide et en plus les arbres sont bien proches les uns des autres. On profite donc de la neige là où ça passe le mieux et on continue à jouer à tourner / virer comme des gosses jusqu'à ce que Katy, qui doit rentrer à l'heure pour préparer la Raclette du soir, ne sorte son GPS de sa poche pour nous montrer où nous sommes. Si on persiste dans notre direction on va bientôt se retrouver à Saint Pierre de Chartreuse sans passer par la case voitures! La raison l'emporte il faut changer de cap pour attaquer une assez longue traversée Est Nord-Est dans la forêt dense et pentue où la neige s'est alourdie avec la température de l'après-midi. Le rythme des virages reste élevé jusqu'à ce qu'on retrouve le torrent du Giglas puis la route à ~500 m de distance sous les voitures. A 16h30 à bon port nous n'avons qu'une demi-heure de retard et tout le monde a le sourire après cette belle boucle de ~1700 m de D+ agrémentée de 3 sommets et ce malgré les horizons bouchés par la brume.

Compte tenu des impératifs de l'équipe nous n'aurons pas le temps de boire ensemble la traditionnelle bière de clôture. Une des 2 voitures part directement pour Lyon atteint à 18h19 (parking du CE). La seconde prendra quand même le temps de s'arrêter à la sortie 6 pour déposer les 2 non citadins.

Bilan de la journée: positif à l'unanimité! Nous nous sommes bien amusés dans la neige à tourner entre les arbres et à faire de jolies traces dans une poudre de grande qualité. Merci au groupe et à sa bonne humeur avec une mention spéciale pour Jérôme F. qui a su donner de la voix lors de certains virages appuyés dans la forêt :-)

Notre trace:




Pointe de Talamarche (?) : 28 Février 2015


Beaucoup de marathoniens (St-E-Lyon, TMB, …) dans cette équipe de soi-disant débutant, donc nous décidons de conserver l’objectif initial un peu ambitieux de la pointe de Talamarche.
Le départ est juste avant Thônes assez proche de Lyon, mais aussi d’Annecy.
(L’objectif caché de cette course était surtout de mettre une bonne claque à un célèbre encadrant du Corvi  et sa recherche perpétuelle d’un départ à  altitude modeste- voir Sortie du 7 fev 2015)

Première partie en Forêt, puis très beau vallon -assez plat- jusqu’au Sommet. 
Quelques petites purges venant de la dent du Cruet compte tenu des 10cm tombés la veille
Belle descente dans la partie supérieure, puis la forêt du bas est un peu moins sympathique.

Exercices réalisés pour cette sortie niv1 :
Exercice individuel recherche mono victime DVA pour Jérôme & Philippe pour se familiariser avec les bêtes de courses du club,

Exercice de recherche collectif de 2 victimes pour Pascal, Jérôme & Anne (pendant que Thierry aide Philippe à avancer un peu dans la descente):
Bilan positif, Pascal équipé d’un ancien DVA laisse ses coéquipiers partir à la recherche des ensevelis, pour appeler les secours, mais oublie de passer son DVA en mode recherche…, Quelques secondes perdues également pour les 2 chercheurs qui cherchent dans un premier temps le même enseveli, mais Anne “marque” finalement assez rapidement pour passer au 2ème.  

Timing :
6h30 Rassemblement Vénissieux
8h50 Départ Parking Pont des Morettes (alt 584m)
8h55 Skis aux Pieds (alt 630m - montée et Descente)
13h00 Tout le monde au sommet - piquenique
14h00 Descente
16h30 Retour Voiture

Les chiffres :
Nombre de raquetteurs (ses) ou skieurs (ses)  vus (es) au parking : 0
Nombre de raquetteurs (ses) ou  skieurs (ses)  vus (es) au sommet : 0
Nombre de raquetteurs (ses) ou skieurs (ses)  vus (es) entre les 2 : 0
Exercice Collectif DVA : 4min45 pour le 1er, 8min45 pour le 2ème
Nombre de paires de Diamir : 5/6 - (impec, aucune de perte de temps pour rechausser)
Nombre de skieur (non équipé de Diamir) ayant oublié d’enlever 1 peau pour redescendre et ne s’en rendant  pas compte avant qu’on le lui fasse remarquer après la moitié de la descente : 1
Niveau réel Corvi de la sortie : plutôt 2 que 1 
Cout : 32E/Pers (voitures incomplètes)

Conclusion :
Bien belle sortie même si pas très skiante
Equipe bien sympathique, bienvenue aux 2 nouveaux dans le Corvi